Economie tunisie

BILLET: Encourager les business-women

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La Tunisie a fait de la promotion de l’entrepreneuriat féminin et de l’inclusion économique des femmes une priorité en renforçant leur implication dans le processus de développement et en tirant parti de l’immense potentiel qu’elles représentent pour faire avancer le pays et notre économie. 

Le rôle clé des femmes entrepreneures dans la dynamique de développement économique du pays n’est plus à montrer, sachant que la relance économique est tributaire aussi des capacités des femmes entrepreneures à promouvoir et à développer des initiatives entrepreneuriales intelligentes capables de saisir les nouvelles opportunités. L’entrepreneuriat féminin et, d’une manière plus générale, l’autonomisation économique des femmes sont un enjeu majeur de développement social, économique et politique. La Tunisie a enregistré plusieurs avancées législatives au niveau national et des engagements internationaux majeurs. Elle s’est engagée, depuis des décennies, à valoriser le capital humain féminin et à faciliter une plus grande contribution des femmes à la croissance économique et au développement durable du pays.

Toutefois, le taux de l’entrepreneuriat féminin demeure encore faible, soit 28,2%. Selon les estimations nationales, 23,6% des entreprises en Tunisie sont dirigées par des femmes et 11% détiennent une société. Seulement 4% des start-up ayant reçu le label « Start-up Act » ont été fondées par des femmes, 28% sont cofondées par des femmes et des hommes et 68% exclusivement par des hommes. Concernant l’accès au financement, 17% seulement des crédits sont accordés par la Bfpme aux femmes entrepreneures.

La directrice générale de la Caisse des dépôts et consignations (CDC), Néjia Gharbi, indique que l’entrepreneuriat féminin fait défaut au niveau des start-up ainsi que dans les régions, « ce qui explique le ciblage des programmes sur ces groupes dans le but de revitaliser le système économique ». Le nombre d’entreprises créées ou dirigées par les femmes a certes augmenté, mais continue à rencontrer des difficultés financières  et autres qui, souvent, proposent leurs projets les plus ambitieux ou tempèrent leurs initiatives les plus audacieuses. Ainsi, pour contribuer à propulser les femmes entrepreneures au niveau escompté, une bonne connaissance de leur environnement s’avère inéluctable, étant donné que la réussite des entreprises dirigées par les femmes est tributaire de plusieurs facteurs qui se réunissent dans leur combinaison la plus optimale.

L’article BILLET: Encourager les business-women est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

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Le rôle clé des femmes entrepreneures dans la dynamique de développement économique du pays n’est plus à montrer, sachant que la relance économique est tributaire aussi des capacités des femmes entrepreneures à promouvoir et à développer des initiatives entrepreneuriales intelligentes capables de saisir les nouvelles opportunités. L’entrepreneuriat féminin et, d’une manière plus générale, l’autonomisation économique des femmes sont un enjeu majeur de développement social, économique et politique. La Tunisie a enregistré plusieurs avancées législatives au niveau national et des engagements internationaux majeurs. Elle s’est engagée, depuis des décennies, à valoriser le capital humain féminin et à faciliter une plus grande contribution des femmes à la croissance économique et au développement durable du pays.

Toutefois, le taux de l’entrepreneuriat féminin demeure encore faible, soit 28,2%. Selon les estimations nationales, 23,6% des entreprises en Tunisie sont dirigées par des femmes et 11% détiennent une société. Seulement 4% des start-up ayant reçu le label « Start-up Act » ont été fondées par des femmes, 28% sont cofondées par des femmes et des hommes et 68% exclusivement par des hommes. Concernant l’accès au financement, 17% seulement des crédits sont accordés par la Bfpme aux femmes entrepreneures.

La directrice générale de la Caisse des dépôts et consignations (CDC), Néjia Gharbi, indique que l’entrepreneuriat féminin fait défaut au niveau des start-up ainsi que dans les régions, « ce qui explique le ciblage des programmes sur ces groupes dans le but de revitaliser le système économique ». Le nombre d’entreprises créées ou dirigées par les femmes a certes augmenté, mais continue à rencontrer des difficultés financières  et autres qui, souvent, proposent leurs projets les plus ambitieux ou tempèrent leurs initiatives les plus audacieuses. Ainsi, pour contribuer à propulser les femmes entrepreneures au niveau escompté, une bonne connaissance de leur environnement s’avère inéluctable, étant donné que la réussite des entreprises dirigées par les femmes est tributaire de plusieurs facteurs qui se réunissent dans leur combinaison la plus optimale.

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