Economie tunisie

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États-Unis   
Les ultra-riches s’enrichissent encore

La Presse — En 2024, les 19 ménages les plus riches des Etats-Unis ont vu leur fortune augmenter de 1.000 milliards de dollars, une hausse sans précédent qui porte leur part de la richesse totale des ménages américains à 1,8 %, soit environ 2.600 milliards de dollars. Cette concentration extrême s’inscrit dans une tendance de long terme d’accroissement des inégalités, exacerbée par la flambée des marchés financiers.

Alors que la richesse moyenne a augmenté dans toutes les catégories depuis 1990, celle des ultra-riches a crû de manière disproportionnée, creusant davantage l’écart avec le reste de la population. Le nombre de milliardaires américains a ainsi explosé, passant d’environ 1 400 en 2021 à près de 2 000 en 2024.

Panne d’électricité en Espagne
Le PIB impacté 

S’il est encore tôt pour chiffrer avec exactitude le montant du préjudice lié à la panne d’électricité massive du lundi 28 avril, on parle déjà d’un montant avoisinant les 4,5 milliards d’euros au pays. Le calcul a été fait en partant du PIB annuel de l’Espagne, et le montant correspond à ce que produit l’économie espagnole en une demi-journée.

La banque d’investissement RBC a estimé que le coût économique de la panne de courant pourrait se situer entre 2,25 et 4,5 milliards d’euros, conséquence directe du black-out qui a duré dans certaines régions plus de 12 heures. La principale organisation patronale espagnole, la Ceoe, a estimé que la panne réduirait le produit intérieur brut de 1,6 milliard d’euros (soit 0,1 %), soulignant qu’il pourrait falloir une semaine ou plus aux raffineries de pétrole pour reprendre pleinement leurs activités, et que certains fours industriels avaient été endommagés. De son côté, l’industrie de la viande a évalué ses pertes jusqu’à 190 millions d’euros, notamment à cause des coupures de réfrigération.

Algérie  
On serre la vis contre l’informel

L’importation des chocolats dans des cabas pour être revendus dans les magasins est une pratique totalement interdite et l’Algérie compte bien le faire savoir et sévir.  Outre les contrôles aux frontières, les autorités algériennes multiplient les contrôles dans les magasins. Ces produits rentrent par petites quantités mais finissent par peser et inonder le marché, échappant à toutes les taxations.

Et cela ne touche pas uniquement le chocolat, mais également les produits cosmétiques utilisés dans les salons, qui sont aujourd’hui particulièrement ciblés par les contrôles. Ce nouveau tour de vis décidé par les autorités algériennes s’inscrit dans le cadre d’une volonté de combattre l’économie informelle qui pèse énormément sur l’économie formelle. Selon de hauts responsables, 90 milliards de dinars (plus 2 milliards de dinars tunisiens) circulent dans l’informel et échappent à tout contrôle de l’Etat. 


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